Bonjour,
Ludcm: Merci, il vaut mieux que tu sois assis avec une jatte car il y en a encore pour un bout de temps.
Kadett power: Comme tu habites à 10 km de chez moi, tu peux passer un jour voir l'épave.
Le jour où j'ai été voir cette voiture, c'est la première fois que j'en voyai une de ce modèle, en vrai.
Donc je suis comme vous, je dècouvre en démontant.
Comme je ne suis pas superman, ca va bientot arriver où j'aurai besoin de conseil ou profiter de la connaissance de tous car je suis aussi en face de l'inconnu.
J'ai ouvert les soudures du bord du toit au burineur car il y avait de la rouille entre et quand je tappe sur le bord des morceaux de rouille n'arrétent pas de tomber.

J'ai toujours peur de toucher au ciel de toit car quand j'avais 10 ou 11 ans, avec mes frères, on avait démonté le ciel de toit d'une cox pour repeindre l'intérieur et quand on avait voulu le remonter il avait rétrécit de 5 cm, on avait du en refabriquer un autre.
Un ciel de toit ne me fait pas peur si on peut le remonter de suite, quand j'ai restauré une BMW 30 SI 6 cyl 200 CH DIN de 1972 qui avait en partie brulée, j'ai récupéré le ciel de toit d'une voiture pourrie et l'ai remonté de suite dans l'autre, là pas de problème.
Ici je ne vais pas pouvoir le remonter de suite, mais ce ciel de toit semble être du velour ? il ne va peut être pas ce rétracter, je l'espère.
Je decolle par un coin et comme on peut le voir toute la tôle du toit est rouillée.
Le ciel de toit est collé sur une mousse qui est collée sur la tôle, la rouille fait, qu'elle s'enlève facilement. (La pourriture a des fois du bon.)

Je laisse la toile sur la mousse bien à plat dans un coin.

Maintenant que c'est dégagé, je comprend pourquoi la rouille continue de tomber, regardez l'état du bord du toit.

Je vais encore devoir me cramer en soudant à l'intérieur de cette bagnole.